16 mars 2019
L’enseignement supérieur doit se repenser pour s’accorder avec la réalité :
- intégrer les mutations de l’entreprise du 21e siècle pour préparer les étudiants aux enjeux de leur poste à venir
- et évoluer dans leur manière d’enseigner puisqu’une bonne partie des savoirs est disponible sur le net, et la concurrence s’internationalise
C’est l’objet du programme Elence : accompagner l’enseignement supérieur dans son évolution et dans la prise en compte de la performance globale
Comment concrètement construire un cursus de performance globale ? Comment repenser les offres des écoles, pour qu’elles deviennent attractives, responsables, citoyennes et solidaires ? Comment développer les compétences d’adaptabilité et de flexibilité des futurs managers ?
L’entreprise doit être (Re)positionnée comme un système d’utilité sociale, sociétale et économique.
Sa performance n’est plus liée au triptyque coûts, qualités, délais. Elle est globale et intègre l’humain dans toutes ses décisions.
Répondre aux besoins en compétences des entreprises et assurer l’employabilité des jeunes diplômés nécessite une capacité d’écoute par les établissements.
La digitalisation et la mise à disposition des savoirs sur le net induisent un changement de posture des enseignants vers du tutorat et de l’accompagnement.
D’une part, la question de fidélisation et l’anticipation des nouvelles formes d’emploi à venir doivent être prises en compte. D’autre part, la recherche de sens doit également être présente.
Quels contenus de formation apporter pour associer ces envies et les besoins des entreprises ?
Elence propose aux acteurs de la formation initiale de faire un pas de côté et d’avoir une vue d’ensemble sur la performance globale.
C’est le résultat de 3 ans d’expérimentation du programme Élence qui rassemble 55 entreprises, 26 écoles et 250 acteurs.
